Oui Fm : 20 ans après Indochine, Dominik Nicolas en solo
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Oui Fm : 20 ans après Indochine, Dominik Nicolas en solo
Oui Fm : 20 ans après Indochine, Dominik Nicolas en solo
Publié le 27 mai 2015 à 16:53
Source: http://www.ouifm.fr/20-ans-apres-indochine-dominik-nicolas-en-solo/#
Publié le 27 mai 2015 à 16:53
On lui doit les plus grands tubes d’Indochine, le co-fondateur et guitariste du groupe revient sur le devant de la scène avec un premier album solo, La Beauté de l’idée, sorti ce lundi.
Guitariste, compositeur et co-fondateur d’Indochine, Dominik Nicolas ignorait, lorsqu’il a acheté ses premiers instruments de musique à la fin des années 70 qu’il allait, à ce point, marquer les décennies suivantes de son empreinte. À l’époque, son groupe écume la scène parisienne comme Elli & Jacno ou Taxi Girl, mais alors que ces derniers décrochent des hits, Dominik va être à l’origine d’un véritable tsunami.
Formation majeure de la pop française dès le milieu des années 80, qui remporte l’adhésion du grand public tout en continuant de séduire ceux qui, comme ses quatre musiciens, ont succombé aux charmes de Depeche Mode, The Cure ou Young Marble Giants, Indochine multiplie les tournées à succès et engrange les disques d’or. Mais en 1995, après huit albums et une ribambelle de tubes (L’Aventurier, Miss Paramount, Kao Bang, Canary Bay, Troisième Sexe, Trois nuits par semaine, Tes yeux noirs, Les Tzars, Le Baiser, Des Fleurs pour Salinger, Savoure le rouge…), Dominik quitte le navire.
Laissant le groupe voguer vers de nouveaux rivages, sans pour autant prendre sa retraite, il disparaît des feux de la rampe et prouve alors que même si Indochine a marqué son existence, il n’est pas toute sa vie. Avec ses guitares et rythmiques résolument rock, La Beauté de l’idée témoigne de l’envie de Dominik Nicolas de revenir en lumière. À ses propres conditions. Pop parce que c’est à cette source-là qu’il s’abreuve depuis l’adolescence, électrique car la guitare est l’instrument majeur de la musique qu’il aime, gorgé de refrains entêtants puisque, il l’a prouvé par le passé, c’est sa spécialité, cet album est une réussite à laquelle on a sûrement eu tort de ne pas s’attendre. Véhément, à la page, maître des grilles d’accords au pouvoir démoniaque et sensuel, un brin new wave parce que nier ses origines n’est pas son genre, alliant à merveille le rock et l’electro, arrangeur subtil et libre comme les airs qu’il a pris plaisir à peaufiner, Dominik, loin de reprendre l’affaire là où il l’a laissée il y a vingt ans, se projette dans le présent et confirme qu’il a mûri.
.Guitariste, compositeur et co-fondateur d’Indochine, Dominik Nicolas ignorait, lorsqu’il a acheté ses premiers instruments de musique à la fin des années 70 qu’il allait, à ce point, marquer les décennies suivantes de son empreinte. À l’époque, son groupe écume la scène parisienne comme Elli & Jacno ou Taxi Girl, mais alors que ces derniers décrochent des hits, Dominik va être à l’origine d’un véritable tsunami.
Formation majeure de la pop française dès le milieu des années 80, qui remporte l’adhésion du grand public tout en continuant de séduire ceux qui, comme ses quatre musiciens, ont succombé aux charmes de Depeche Mode, The Cure ou Young Marble Giants, Indochine multiplie les tournées à succès et engrange les disques d’or. Mais en 1995, après huit albums et une ribambelle de tubes (L’Aventurier, Miss Paramount, Kao Bang, Canary Bay, Troisième Sexe, Trois nuits par semaine, Tes yeux noirs, Les Tzars, Le Baiser, Des Fleurs pour Salinger, Savoure le rouge…), Dominik quitte le navire.
Laissant le groupe voguer vers de nouveaux rivages, sans pour autant prendre sa retraite, il disparaît des feux de la rampe et prouve alors que même si Indochine a marqué son existence, il n’est pas toute sa vie. Avec ses guitares et rythmiques résolument rock, La Beauté de l’idée témoigne de l’envie de Dominik Nicolas de revenir en lumière. À ses propres conditions. Pop parce que c’est à cette source-là qu’il s’abreuve depuis l’adolescence, électrique car la guitare est l’instrument majeur de la musique qu’il aime, gorgé de refrains entêtants puisque, il l’a prouvé par le passé, c’est sa spécialité, cet album est une réussite à laquelle on a sûrement eu tort de ne pas s’attendre. Véhément, à la page, maître des grilles d’accords au pouvoir démoniaque et sensuel, un brin new wave parce que nier ses origines n’est pas son genre, alliant à merveille le rock et l’electro, arrangeur subtil et libre comme les airs qu’il a pris plaisir à peaufiner, Dominik, loin de reprendre l’affaire là où il l’a laissée il y a vingt ans, se projette dans le présent et confirme qu’il a mûri.
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